Bal en Fa# mineur
Je suis la mort des hommes, je porte couronne et je suis de leur vie la maîtresse et patronne
Et bien sûr je suis cruelle et bien sûr je suis très dure mais rien n'arrêtera mes déchirures
Et devant ma faux qui passe je vois trembler les figures Et rien n'arrêtera mes déchirures
Toi maîtresse du monde, soit bienvenue dans nos maisons pose la faux au creux de toutes nos musiques prends place dans nos danses et si tu danses encore toute la mort sera morte à l'aurore. |